La malversation financière, la
division, la haine ethnique voir l'escroquerie sont des accusations vraiment
gratuite, vous allez aussi le constater, faites contre le Bishop seigneur de
guerre, Jean-Marie RUNIGA par son complice aux lèvres peu rougeâtre, SULTANI
MAKENGA qui lui reproche aujourd’hui après presque une année de compagnie, de
voir tenter d'entraîner le mouvement
vers une reprise des hostilités et une nouvelle occupation de Goma, la capitale
régionale du Nord-Kivu.
Comment deux aventuriers encouragés
par un monsieur, qui se retrouve à la tête d’un Etat, décident de prendre les
armes pour l’intérêt de leur pays véritables en tuant des milliers des
personnes et en violant les femmes, peuvent arriver un jour à se destituer l’un
contre l’autre car refuser ou soutenir la violence. Aujourd’hui, 11mois après
avoir tuer, piller et violer les femmes, l’aventurier MAKENGA veut faire croire
aux congolais et au monde qu’il est
contre la violence ? L’escroquerie ? Malversation financière ?
Haine ethnique ? Même si celui n’a jamais fait la guerre, ne peut
comprendre comment deux dirigeants d’un mouvement aussi connu et reconnu, ne
peuvent se diviser pour des raisons si élémentaires. Reproché RUNIGA de
soutenir BOSCO NTANGANDA, aujourd’hui MAKENGA peut nous dire celui qu’il
soutien lui ? Qui représente MAKENGA devant NTANGANDA car à peine auto proclamé
colonel, grade qu’il croit obtenir au
sein de l’armée congolaise, SULTANI MAKENGA n’était qu’un simple garde du corps
sans grade d’officier. Prétendre prendre une position contre son Chef, MAKENGA
doit nous expliquer d’abord la destitution jamais communiquée de NTANGANDA. Il veut
prétendre soutenir la stabilité au Congo ? Quelle stabilité même si la
paix n’a pour parent que la guerre. Farce car ce joué bien joué ne pourra convaincre,
même pas un nouveau né.
Tenez, le seigneur de guerre Bishop RUNIGA,
chef de la branche politique et le caporal rwandais MAKENGA chef de la branche
militaire sont au service de leur pays d’origine et dépendent directement du
producteur du groupe, KAGAME qui décide sur l’orientation à donner aux
activités politiques et militaires à exercer par la troupe M23 sur terrain. Qui
était RUNIGA et MAKENGA avant de décider de faire la guerre contre les
institutions politiques congolaises. Quelle capacité intellectuelle en matière
politique et militaire dont disposaient ces deux artistes pour l’action d’une
telle envergure qui a bougé les grandes puissances régionales, continentales,
internationales voir mondiale.
Qui ne comprend pas à ce jour, le
jeu auquel ces voyous de M23 sont entrain de jouer. Malheureusement, plus rien
ne sera comme avant.
Tout compte fait, le gouvernement
congolais dont l’attitude et le comportement sont suivis de prêt, ne peut se permettre
de considérer cette distraction comme une opportunité pour applique la même
stratégie utilisée avec le CNDP entre NTANGANDA et KUNDA. Plus personne,
rwandais ou ougandais soit il, ne peut être protégé au nom de la paix au Congo
Kinshasa. Ni RUNIGA, ni MAKENGA encore moi leurs complices (LUMBALA), ne peut se
moquer des congolais comme l’ont fait leurs prédécesseurs.
Voila pourquoi face à ce que les
ennemis des congolais qualifient de la révolution du palais, nous voulons
savoir la position claire du gouvernement dont les positions changent faute de
constance. Jamais négocier avec le M23pour venir se contredire plu tard avec ce
même M23 à KAMPALA. Heureusement que le chef de l’Etat a décidé de rendre suicidaire toute rébellion
au Congo. Aucun membre du M23 ne peut être toléré à Kinshasa même comme
bourgmestre voir chef du quartier.
A eux, les congolaises et congolais,
oppositions comme majorité, gouvernement comme chef de l’Etat, députés
nationaux, provinciaux et sénateurs, tous nous devons leurs rendre la pièce de
leur monnaie. Tôt ou tard, ils doivent le payer d’une manière d’une autre. Cette
faute est incorrigeable. Ce pêché est impardonnable.
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